Ces peintures au format carré ont toutes le même point de départ : trouver le centre. Toutes ont le même commencement d’un cercle tracé au centre qui s’ouvre et se développe dans les huit directions.
Puisant dans la dynamique de cette étoile à huit branches une architecture se construit, un jeu s’articule. Les règles de symétrie donnent le rythme, les couleurs la tonalité. Les points, les lignes sont les notes d’un langage pictural qui relient l’Espace et le Temps au sein même d’une expérience.
Chaque peinture est le témoin unique d’une expérience .
Chaque peinture est le Mandala de cette expérience intime de soi dans l’unité du monde.
Cette « unité du monde » est un concept développé dans le livre passionnant de Fabrice Midal « Petite philosophie des Mandalas » pour qui « le mandala est à la fois cette unité qui rassemble le divers de façon harmonieuse, mais il est aussi ce qui irradie pleinement ».
Chaque Mandala est la peinture d’un chant qui rayonne.

